Les thés natures proviennent de différents pays producteurs Chine, Japon, Sri Lanka,  Indes, Afrique, Népal..

Les thés natures sont vendus en simple origine ou en assemblage comme les Mélanges Anglais.

C’est le terroir et le travail sur les feuilles qui apportent toute une palette de saveurs à la dégustation en tasse.

Les thé verts sont des thés non oxydés. Leur préparation vise donc à éviter tout début d’oxydation. Les feuilles subissent trois opérations : la torréfaction, le roulage et le séchage.

Les thés noirs : La légende raconte qu’au XVIIe siècle, une cargaison de thé vert en provenance de Chine serait arrivée à Londres après un voyage particulièrement long. Au cours de la navigation, les caisses auraient moisi et, de vert, le thé qu’elles contenaient serait devenu noir. Peu connaisseurs, les Anglais l’auraient beaucoup apprécié et en auraient aussitôt recommandé aux Chinois.

Les thés Oolong : On oppose couramment deux catégories de Oolong : des thés légèrement oxydés (10%-15% d’oxydation), préparés selon une méthode dite chinoise ; et d’autres, dont l’oxydation est beaucoup plus importante (60%-70%), travaillés selon une méthode qui se serait développée plus spécifiquement à Taïwan.En fait, la préparation des thés semi-oxydés est un domaine beaucoup moins cloisonné : chaque plantation a ses propres recettes et produit des thés dont le degré d’oxydation ne correspond pas forcément à ces deux catégories.

Les thés blancs : Il existe deux grands types de thés blancs : les Aiguilles d’Argent (constitués uniquement de longs bourgeons argentés) et les Bai Mu Dan (constitués d’un rameau d’un bourgeon et 2 à 3 feuilles).La récolte intervient juste au moment où le bourgeon commence à s’ouvrir puis les feuilles sont travaillées comme les thé verts.

Les thés sombres : La particularité des thés sombres ou PU ERH (baptisés thés noirs par les Chinois en référence à la couleur brun foncé de leur infusion) tient à la fois au mode de manufacture et aux phénomènes de vieillissement qui en résultent. Ce sont des thés fermentés, majoritairement produits dans le Yunnan en Chine, bien que d’autres régions en fabriquent également. Les Pu Erh ont la particularité de se bonifier avec le temps c’est pourquoi l’on parle de thé millésimé.